De plus, il persévéra le plus longtemps possible à porter l’épée, malgré que la mode en fut passée : l’épée au côté, il ne pouvait « compromettre sa dignité, même en le voulant ». […] Il y a, dans le monde, beaucoup de gens qui sont pauvres, qui se déplaisent dans l’endroit où ils demeurent, qui se portent mal, qui ont à se plaindre de leur famille, et que les femmes repoussent. […] J’avais un sabre et une carabine que je portais en travers sur le devant de ma selle. […] Il portait un pantalon rouge, enlevé, je crois, par un des nôtres au cadavre d’un soldat français à Rome, et qu’on lui avait donné quelques jours auparavant. […] Dans ses poésies, qui portent encore plus nettement l’empreinte de sa personnalité, puisque rien ne l’y gêne dans le choix de ses sujets, la même tendance est encore plus accentuée.
Ici, à cette porte je dépose le trésor de ma vie, mon orgueil, mes vêtements, et le nom que je portais parmi les hommes. […] La déesse, dont il est aimé, lui donne, au moment où il va livrer bataille aux Romains, un haubert magique auquel est attaché un étrange destin : celui qui le portera sera invulnérable, mais il causera la perte de son pays. […] Ils portaient la stupidité jusqu’à avoir des principes, et ils étaient assez malheureux pour y conformer leur conduite. […] De temps à autre on peut être porté à trouver qu’il y a ici ou là une phrase un peu longue, et peut-être, se hasarderait-on à dire, un peu lourde, un peu empêtrée dans son mouvement. […] Si l’on pouvait faire un choix entre autant de bonnes choses, je serais porté à dire que c’est aussi le meilleur.