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1428. (1864) Nouveaux lundis. Tome II « Louis XIV et le duc de Bourgogne, par M. Michelet »

D’ailleurs un goût ardent le portait à tout ce qui est défendu au corps et à l’esprit. […] C’est par politesse que Fénelon dit de Mélanthe qu’il est comme un taureau qui porte ses coups en l’air : le duc de Bourgogne portait souvent ses coups moins à faux et battait son valet de chambre pendant que celui-ci était eu train de l’habiller.

1429. (1866) Nouveaux lundis. Tome V « La Grèce en 1863 par M. A. Grenier. »

Ils ont la fierté et la conscience d’eux-mêmes et de leur noblesse, « un facile et gracieux langage, un sentiment exquis du beau dans la pose et dans le costume, une intelligence subtile, un amour extraordinaire de l’étude. » Cet amour de l’étude, hérité et renouvelé des ancêtres, est porté à un point qu’on ne se figure pas. […] On m’avait prévenu que les brigands, pour ne pas être aperçus de loin, ne portent, au rebours de leurs compatriotes honnêtes gens, que couleurs ternes.

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