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778. (1913) Le mouvement littéraire belge d’expression française depuis 1880 pp. 6-333

Il porte beau, il porte sain. […] Et porte en toi l’orgueil Et le tourment de ses jours de gloire et de deuil ! […] Ils ont pris tant de précautions, ils ont mis aux fenêtres des barreaux de fer, consolidé les murs, verrouillé les trois portes de chêne, ils ont prévu tout ce qu’on peut prévoir. […] La scène déchirante de la porte dans La Mort de Tintagiles illustre atrocement cette idée. À nous non plus, la porte ne cédera point.

779. (1913) Poètes et critiques

Elles enferment presque toutes quelque menace sinistre : Ouvrez la porte Aux petiots qu’ont un briquet. […] Maintenant, je suis flûte, et l’on me porte envie. […] — La porte s’ouvre en hâte à des soldats épars. […] C’est d’une part le längtan, quelque chose comme « le désir qui nous porte à sortir de nous-mêmes et la volupté mélancolique d’en ressentir l’impuissance ». […] Il a lu la devise au-dessus de la porte : Innocue vivito, numen adest.

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