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1347. (1886) Revue wagnérienne. Tome I « Paris, 8 novembre 1885. »

Il porte violemment la main à son cœur comme sous le coup d’une douleur subite. […] Tout à coup, il s’arrache, se lève avec tous les signes de l’épouvante et porte la main à sa poitrine. […] Elle porte la robe brune des pénitentes, une corde en guise de ceinture et arrange soigneusement ses cheveux épars.

1348. (1887) Revue wagnérienne. Tome II « Paris, le 8 mars 1886. »

Un sot porte des sottises, comme un poirier des poires. […] Les portes sont ouvertes, dans la première lettre que je reçois de l’étranger, je lis une phrase de Wagner, qu’on me cite : « Il faut brûler Paris !  […] Gounod de pousser la roue du char qui porte l’Œuvre de Wagner et sa fortune ; il fera preuve assurément d’une grandeur d’âme surhumaine.

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