Il porte violemment la main à son cœur comme sous le coup d’une douleur subite. […] Tout à coup, il s’arrache, se lève avec tous les signes de l’épouvante et porte la main à sa poitrine. […] Elle porte la robe brune des pénitentes, une corde en guise de ceinture et arrange soigneusement ses cheveux épars.
Un sot porte des sottises, comme un poirier des poires. […] Les portes sont ouvertes, dans la première lettre que je reçois de l’étranger, je lis une phrase de Wagner, qu’on me cite : « Il faut brûler Paris ! […] Gounod de pousser la roue du char qui porte l’Œuvre de Wagner et sa fortune ; il fera preuve assurément d’une grandeur d’âme surhumaine.