Henry Davray Dans son volume de poèmes, Au fil de l’heure, M. […] Ce sont des poèmes hautains et mélancoliques, d’une rare harmonie linéaire et symétrique, non sans parenté avec les belles ordonnances où se comptait maintenant M.
Mockel, Albert (1866-1945) [Bibliographie] Chantefable un peu naïve, poème. — Quelques livres. — Propos de littérature (1894). — Émile Verhaeren (1895). — Stéphane Mallarmé, un héros (1899). […] -Ferdinand Hérold Mockel donna sa Chantefable un peu naïve, poème d’une grâce ingénue et compliquée à la fois ; la langue en est curieusement travaillée et les vers, très musicaux, y ont des sonorités expressives et des rythmes heureusement variés.