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19. (1902) La poésie nouvelle

Étranges poèmes, de trop de bizarrerie, de cynisme excessif. […] Ainsi dans cet admirable poème des pêcheurs. […] Le poème prend ici la forme du drame : des forces déchaînées s’y heurtent. […] Il y a dans ces poèmes un charme triste et mortel. […] D’ailleurs, dans ce recueil même, les poèmes symboliques et les poèmes en vers libres ne manquent pas.

20. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — M — Merrill, Stuart (1863-1915) »

. — Les Petits Poèmes d’automne (1890). — Poèmes (les Gammes ; les Fastes ; Petits Poèmes d’automne ; le Jeu des épées) [1897]. — Les Quatre Saisons (1900). […] Que ce soit pour les Gammes, les Fastes, les Poèmes d’automne ou le Jeu des épées, invariablement il procède de façon qu’en chacun de ces recueils la pièce terminale soit la plus longue : or, elles ne le sont jamais beaucoup. […] Quelques-uns de ces petits poèmes, Au temps de la mort des marjolaines, entre autres, sont parmi les plus délicieux que je connaisse. […] Ce qu’on y voit encore, c’est un retour vers la campagne, vers la maison de douce solitude… Après avoir chanté les plus glorieuses des légendes dans les Fastes, puis la douceur de l’automne avec les Petits Poèmes, le voici qui chante simplement la beauté des choses. […] Docile à l’exemple de presque tous les poètes et, de plus, excipant de la supériorité esthétique de ces joyaux : les Gammes, les Fastes, le Jeu des épées, et ce délicieux cantique païen : Petits Poèmes d’automne, M. 

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