Ces deux amis, incapables de jalousie, ne rivalisaient que d’affection l’un pour l’autre ; Horace ne pensait qu’à jouir de la vie, Virgile qu’à survivre à la vie dans l’immortalité d’un grand poème. […] » XXI Cette épître d’Horace est un poème à propos de tout, mille fois supérieur aux épîtres de Boileau à Louis XIV ou aux épîtres de Voltaire à Frédéric.
Un second incident eut plus d’importance : ce fut la question de la traduction française du poème. […] Saint-Saëns, et en ajoutant au programme un de ses poèmes symphoniques substitué à l’ouverture des Francs-Juges de Berlioz