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997. (1895) Les mercredis d’un critique, 1894 pp. 3-382

« Plus tard, en 1882, c’est-à-dire seize ans après, M.  […] Une demi-heure plus tard, il reparaît. […] Un peu plus tôt, un peu plus tard, elles se fondront dans le grand creuset où les plus heureuses, les plus aimées, ont versé leur regard, comme une dernière larme ! […] Plus tard, après 1789, nous avions vaincu la coalition des empires, porté le drapeau tricolore dans toutes les capitales, propagé les idées et les lois nouvelles jusqu’au bout de la terre. […] Le jour même où l’on apprit à Paris la reddition de l’Émir, quelqu’un que j’ai connu plus tard rencontra M. 

998. (1895) Nouveaux essais sur la littérature contemporaine

C’était cette Virginie qu’il devait plus tard immortaliser. […] Ceci, répétons-le, — parce qu’on ne saurait trop le redire, dans l’intérêt de la société, comme pour expliquer la vraie pensée de Lamennais — c’est ce qu’il a supérieurement vu, dans son Essai sur l’Indifférence, et plus tard encore mieux. […] L’influence de Sandeau se retrouve encore dans le Roman d’un jeune homme pauvre, et même beaucoup plus tard, jusqu’en 1865, dans la Belle au bois dormant. […] Qu’importe après cela que la foule, et quelques poètes même, comme Lamartine et Hugo, n’aient appris que beaucoup plus tard à prononcer le nom de Leconte de Lisle ! […] L’influence de Baudelaire n’est venue que plus tard.

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