Il ajoute que plus tard, à Saint-Quentin, il payait sa pension, où il était très bien nourri, quarante-cinq francs par mois, et que cette pension, à l’heure présente, est de quatre-vingts francs, sans que le traitement de ceux qui y mangent, ait augmenté d’un sou.
Plus tard, il devait emprunter à saint Augustin, un autre Crique, l’idée et le titre de ses Confessions, et on peut voir dans ces Confessions comme la première ébauche, tantôt informe et mesquine, tantôt déjà puissante et rythmée, de la poésie lyrique contemporaine.