Il en a été trop plein, il s’y est livré, il s’en est enivré. Il s’est lâché à travers la vie comme un cheval de race, cabré dans la campagne, que l’odeur des plantes et la magnifique nouveauté du vaste ciel précipitent à pleine poitrine dans des courses folles qui brisent tout et vont le briser.
480 » Sa prédication était suave et douce, toute pleine de la nature et du parfum des champs. […] Comparez les préceptes Luc, X, 7-8, pleins du même sentiment naïf, et Talmud de Babylone, Sota, 48 b.