Nos emplettes faites, la voiture toute pleine de paquets, nous rentrions, quand Pauline s’écrie : « Et le cadeau de papa ! […] La chambre se trouva encore pleine, et c’était un désordre. […] Que les artistes lisent et relisent cette fiévreuse lettre si pleine d’enseignements pour eux. […] Voici deux belles pages pleine de science, de couleur et d’éloquence ; ce sont de véritables tableaux de maître. […] Le vieux Silène est là, plein jusqu’au gosier, ballotté sur l’âne qui apprit à tailler la vigne, lorsqu’on le vit la brouter.
Mézières C’est le recueil posthume du noble écrivain disparu… Ces vers, si pleins, si forts, font penser à la poésie, toute virile, de Mme Ackermann.