Sur le devant, à terre, dans l’espace vide que laissent les figures, proche des pieds de la mère, une poule qui conduit ses poussins auxquels la petite fille jette du pain ; une terrine pleine d’eau, et sur le bord de la terrine, un poussin, le bec en l’air, pour laisser descendre dans son jabot l’eau qu’il a bue. […] Sa composition est pleine d’esprit et de délicatesse.
Faguet nous blâme de proscrire, avec Chateaubriand et Flaubert, les trop fréquentes répétitions des mêmes mots et des auxiliaires avoir et être. « Les classiques en sont pleins ! […] Faguet termine par ces mots son étude pleine de déductions pénétrantes : « Donc point de conclusion et point de règle.