Spéculant sans doute sur tous ces amours-propres qu’il flatte, l’historien de la Littérature semble être de l’avis du Fabuliste : « Mieux vaut goujat debout qu’empereur enterré », et on le conçoit, si c’est moins l’histoire du passé qu’il écrit que l’histoire d’un avenir qu’il espère… Sans cela, comment expliquerait-on que, dans cette histoire, pleine de titubations singulières, certains talents et certaines renommées tinssent hardiment et presque effrontément la place à laquelle d’autres talents et d’autres renommées auraient droit ?
Pommier, dans cette vision du dernier jour et de l’Éternité, Jésus-Christ, qui, par sa double nature d’homme et de Dieu, est de plein droit l’arbitre agréable et agréé du genre humain entre son Père et nous, Jésus-Christ n’apparaît pas assez.