C’est une chose vivante, une chose ineffable et divine, devant laquelle notre meilleure attitude, avec toute la science qu’il vous plaira, est toujours la vénération, le prosternement pieux, l’humilité de l’âme, l’adoration du silence, sinon des paroles1416. » En effet, telle est l’attitude ordinaire de Carlyle.
Car il est certaines « valeurs » intellectuelles et morales sur lesquelles s’accorde le plus grand nombre dans une société digne de ce nom : le bien et le mal, le vrai et le faux (je ne dis pas le beau et le laid qui sont des « valeurs » esthétiques, sujettes comme telles à variations dans les mieux faites des sociétés ; réservons, s’il vous plaît, la question esthétique pure).