La bonne reine a pris le ton du jour, conté les récits qui plaisaient : de là non pas l’immoralité — c’est trop dire, — mais plutôt l’impudeur hardie de l’Heptaméron, et cette mixture qui nous surprend de dévotion, de gaillardise et de morale. […] Sa nature ne le poussait pas à sortir des sujets et du ton qui plaisaient à son public.
Et la vertu ne lui plaira qu’à la condition d’être excessive et héroïque. […] Au bout de six mois, elle déclare posément à son mari qu’elle ne l’aime plus et qu’elle entend vivre à sa guise et avoir des amants si cela lui plaît.