L’indépendance de Werther, et son besoin d’égalité, qui lui fait fouler aux pieds les vaines distinctions de rang et de naissance, n’en est pas moins un noble sentiment.
Le loisir dans le bonheur incite seulement à rêver, c’est-à-dire à sommeiller et à dormir, la tête à l’ombre et les pieds au soleil, à pratiquer ce bel hédonisme que je nommerais volontiers édredonisme.