C’est un plaidoyer d’ami en faveur de Dumouriez ; c’est un raisonnement à propos de sa vie ; les faits n’interviennent que comme des pièces justificatives d’un syllogisme.
Cette pièce a de l’entrain ; le caractère de la tutrice est d’une donnée assez neuve, et l’esprit, sans y être de haut vol, n’est pas trop vulgaire.