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958. (1853) Portraits littéraires. Tome II (3e éd.) pp. 59-300

Le lecteur reconnaît avec surprise dans les paroles prononcées par une fille d’honneur de la reine, plusieurs phrases qui ont acquis sur les théâtres du boulevard une célébrité proverbiale. […] Quelques phrases pleines et concises suffisaient amplement. […] Sans doute il est possible, en ordonnant ces paroles, de construire des phrases raisonnables ; mais pourquoi la construction n’est-elle pas toute faite ? […] Guizot, une phrase de son discours suffirait pour nous ramener à notre conviction première. Cette phrase merveilleuse, irrésistible, n’est autre chose que l’éloge de l’ambition.

959. (1896) Impressions de théâtre. Neuvième série

je souhaiterais presque… » Or, à peine cette phrase mauvaise lui a-t-elle échappé, on entend des cris du côté de la mer. « Un enfant noyé !  […] Je vous ai conté que la Conscience abattait la Luxure, serve de l’Argent, d’un coup de fusil nouveau modèle, et la phrase a pu vous sembler bizarre. […] Il explique à Jane, au dernier acte, pourquoi il l’a priée de lui répéter en anglais la phrase mystérieuse : « À quelle heure arrivons-nous à Strasbourg ?  […] oui, c’était moi la voyageuse, c’était moi la femme à la phrase anglaise. » Saisissez-vous à présent l’extrême commodité du truc ? […] Comme malgré lui, il écarte sa petite sœur de la pauvre Maud, prononce quelques phrases où il est question du mariage chrétien, et, brutalement, se retire.

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