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27. (1862) Cours familier de littérature. XIV « LXXXIIe entretien. Socrate et Platon. Philosophie grecque. Deuxième partie. » pp. 225-303

que la nature est un plus grand philosophe que ces sophistes ! […] « — Mais dis-moi, reprend le disciple, de tous les gouvernements, lequel convient au philosophe ? […] On dirait que Platon est jaloux de la divine sagesse du poète, mille fois plus philosophe et plus politique que lui. […] Car il n’y a pas une des lois du philosophe qui ne soit la négation des lois de la nature promulguées par la divinité de nos instincts sociaux. […] Sa puissance indestructible, aux yeux d’un vrai philosophe, est précisément de savoir se changer.

28. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « VII. Vera »

Vera, — un nom heureux pour un philosophe !  […] Vera est un philosophe qu’il a commencé sa publication par cette traduction de la Logique. […] Vera, moins habile qu’il n’est philosophe, et qui, en l’ennuyant par trop, doit rater son public. […] Il y avait encore à s’étonner des philosophes. […] Leibnitz aussi, — encore un philosophe ! 

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