A cause de cela, ce songeur si peu philosophe a quelquefois des vers profonds ; et ce poète, de beaucoup plus d’imagination que de tendresse, a des vers délicats et tendres. […] Il n’est pas plus philosophe que Musset ; il l’est moins que Lamartine.
Jean de Gourmont, à la question du renouveau, répond par un « peut-être », qui est très digne d’un philosophe pyrrhonien. […] Mais quand ce philosophe ajoute : « Aujourd’hui ce sont les principes qui sont en question, et la critique est sans cesse obligée de se poser des problèmes de vérité, de bienfaisance, d’opportunité : elle doit devenir, bon gré mal gré, morale et politique », plus d’un, sans doute, fronce les sourcils ou lève les bras au ciel.