Ce sous des Esseintes qui s’est efforcé, il l’a dit lui-même, de noter les phénomènes d’une société en décomposition, ne manque jamais de signaler une monstruosité.
Une fois que je m’en entretenais avec Georges de Porto-Riche et que je faisais allusion à certains récits d’où l’on aurait pu tirer des indices sur l’état mental de Maupassant, et, en particulier, à la nouvelle intitulée Le Horla dont le fantastique hallucinatoire décelait un trouble avertisseur, Porto-Riche m’assura que Le Horla ne pouvait pas être la preuve de phénomènes morbides chez Maupassant, car c’était lui, Porto-Riche, qui avait donné à son ami le sujet de ce conte, et Maupassant s’était borné à en développer le thème accepté.