À l’âge de sept ans, il perdit beaucoup de sang par suite d’une chute, et le chirurgien décida qu’il mourrait ou resterait imbécile ; la prédiction ne fut point vérifiée. « Cet accident ne fit qu’altérer son humeur, et le rendit mélancolique et ardent, caractère ordinaire des hommes qui unissent la vivacité d’esprit et la profondeur. » Après avoir fait ses humanités et surpassé ses maîtres, il se livra avec ardeur à la dialectique ; mais les subtilités de la scholastique le rebutèrent : il faillit perdre l’esprit, et demeura découragé pour dix-huit mois. […] « Mais voici ce qui prouve que Vico est né pour la gloire de Naples et de l’Italie ; il venait de perdre tout espoir d’avancement dans sa patrie ; un autre aurait dit adieu aux lettres, se serait repenti peut-être de les avoir cultivées ; pour lui il ne songea qu’à compléter son système. » Nous ajouterons peu de choses à ce que nous avons dit sur les dernières années de Vico, et sur les malheurs qui attristèrent la fin de sa carrière. […] L’auteur arrivait au terme de sa vie et de ses malheurs ; depuis plusieurs mois il avait perdu connaissance. […] Mais quel que soit son talent, on peut dire que, dans ses Saggi politici, les idées de Vico ont autant perdu en originalité que gagné en clarté.
La salive qui a été bouillie perd cette propriété pour le moment ; mais elle la reprend au bout de quelques jours. […] À mesure que cette substance disparaît, le suc pancréatique devient de plus en plus aqueux et perd son activité physiologique. […] Lorsqu’on fait dessécher du suc pancréatique, il peut perdre de 90 à 99 pour 100 de son poids. […] Le chien devint moins vorace, plus vif, et reprit l’embonpoint qu’il avait perdu momentanément. […] Les intestins étaient à peu près à l’état normal ; ils avaient perdu de leur transparence, et leur tunique interne était pâle.