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3270. (1856) Leçons de physiologie expérimentale appliquée à la médecine. Tome I

Étant bien pénétré de cette pensée qu’il ne pouvait pas y avoir contradiction dans ces faits bien observés ; et que cette diversité des résultats dépendait des conditions particulières à l’expérimentation, je résolus de les rechercher. […] Pour apprécier le rôle appartenant à chaque substance alimentaire, nous n’avons eu en quelque sorte qu’à soustraire par la pensée, de chacun des trois derniers chiens, le chien à l’eau pure, et la différence était nécessairement due à la substance surajoutée à l’eau.

3271. (1856) Leçons de physiologie expérimentale appliquée à la médecine. Tome II

La même pensée est encore exprimée par Haller, quand il définit la physiologie : anatomia animata. […] On a remarqué que la présence de ces calculs qui obstruent le conduit salivaire détermine généralement comme symptôme une douleur excessivement vive, qui s’irradie vers la glande ; ce qui viendrait encore à l’appui de cette pensée, que la grenouillette n’est pas due à une obstruction du canal, car elle se développe habituellement sans douleur.

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