En sortant de la Chambre des horreurs de son livre, on emporte cette pensée triste, et consolante à la fois, que le vice et le crime connaissent la souffrance, et que les monstres sont à plaindre.
« Ce petit volume a donc été composé inconsciemment, et peut s’attribuer à quelque élévation courte et subtile d’une pensée féminine vers ce qui n’est pas la tâche journalière ou l’obligation mondaine… » Voilà de la prose exquise qui nous dispense, je crois, de citer les vers, non moins exquis, de Mme Daudet.