C’est encore par de nouvelles modifications de plus en plus spirituelles, et traitées de main de maître, avec un art consommé, qu’il a ramené ces motifs dans le Scherzo, consacré à la peinture du caractère de Méphistophélès. […] Puis, par la hantise des sensations chaudes, la musique fut menée à vouloir sortir de sa destination : elle tâchait maintenant à être une peinture, imitant les bruits naturels, les mouvements des corps, leurs couleurs.
Ainsi Ménandre réduisit à une peinture innocente des moeurs, la comédie où régnoit auparavant la médisance. […] La peinture a aussi ses régles, quoiqu’elle ne tende qu’à flater les sens par l’imitation de la nature.