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204. (1895) Histoire de la littérature française « Cinquième partie. Le dix-huitième siècle — Livre V. Indices et germes d’un art nouveau — Chapitre III. Retour à l’art antique »

En dehors du mouvement philosophique s’est formé un courant d’études d’archéologie et d’art, qui avaient pour objet les monuments antiques, ruines d’architecture, fragments de peintures statues, vases, débris de toute sorte et de tout âge. […] Il servit de trait d’union entre l’Académie des Inscriptions et celle de Peinture et Sculpture. […] Le comte de Caylus (1692-1765), voyagea en Italie et en Orient, entra en 1731 à l’Académie royale de Peinture et de sculpture ; en 1712, à l’Académie des Inscriptions, publia de 1752 à 1767 son Recueil d’antiquités égyptiennes, étrusques, grecques, romaines et gauloises, 7 vol. in-4. — A consulter : S.

205. (1906) La nouvelle littérature, 1895-1905 « Deuxième partie. L’évolution des genres — Chapitre IV. Littérature dramatique » pp. 202-220

Émile Fabre… et puis, une peinture de mœurs factices, de mœurs irréelles, qui nous valent, de par le monde, la réputation d’un peuple uniquement préoccupe de problèmes sexuels et surtout d’adultère. […] De son Timon d’Athènes aux Ventres Dorés, c’est de la peinture de caractère, intense et amère. […] Mais il y a place pour deux théâtres, Corneille et Molière, la peinture du meilleur et du pire.

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