Rien alors ne manque à cette peinture du chef et du prototype de ce parti où l’on ne sait ni commander ni obéir, et qui, par les embarras où il a jeté tous les autres, et par tout ce qu’il a empêché ou manqué de faire, aura mérité, sous le nom de centre gauche, une place indécise entre le blâme et la louange, dans l’histoire politique de la France du xixe siècle ?
Je me souviens d’avoir entendu dire à un amateur de peinture que l’audition de je ne sais plus quel morceau lui inspirait des images précises de personnages dansants, de mouvements rythmés.