Mais, si le lieu-commun est banal, on pouvait l’illustrer de peintures précises et assez probantes, car le temps y prêtait ; et peut-être n’avait-on pas encore vu la haute société aussi pervertie, sinon par les « sciences et les arts », du moins par les raffinements de l’esprit et par une culture trop tournée vers le seul agrément.
Mais ce n’est pas seulement la crise psychique traversée par l’abbé, crise d’ailleurs très bien décrite, qui fait l’intérêt de ce livre, c’est aussi la peinture exacte de l’époque.