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511. (1865) Nouveaux lundis. Tome IV « Daphnis et Chloé. Traduction d’Amyot et de courier »

Un rare et gracieux peintre, Prud’hon, a lui aussi crayonné quelques-unes de ces scènes de l’idylle, et notamment celle du bain dans la grotte des Nymphes. […] C’est Daphnis et Chloé dans leur nudité, mais traduits par un peintre poète qui a lu Paul et Virginie.

512. (1866) Nouveaux lundis. Tome V « La Grèce en 1863 par M. A. Grenier. »

Il nous donne des descriptions vivantes des principaux types, l’Albanais, le Phanariote, l’Insulaire ; en un mot il est peintre, il est portraitiste avec saillie et ressemblance : le satirique ne commence et ne se donne tout son jeu que là où il se trouve en face d’une société et d’une Cour ridicules. […] En général il semble reconnu de la plupart des critiques qu’Homère est un excellent peintre d’après nature, qu’il décrit tout pour l’avoir vu ou comme s’il l’avait vu, les lieux, les rivages, les navigations et les manœuvres de la marine, la guerre jour par jour et ses opérations.

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