Ainsi, on dit couramment que le crime peut être également produit par les causes les plus différentes ; qu’il en est de même du suicide, de la peine, etc. […] Pour la peine, au contraire, si l’on a cru qu’elle s’expliquait également bien par des causes différentes, c’est que l’on n’a pas aperçu l’élément commun qui se retrouve dans tous ces antécédents et en vertu duquel ils produisent leur effet commun 84.
Si c’est se montrer l’ennemi des gens de lettres, que de leur parler avec intérêt des peines de leur était, ceux qui prendraient si légèrement l’alarme pour nous accuser, pourraient faire le procès, sans le savoir, à leurs meilleurs amis. […] J’aurais bien dû, me dis-je à moi-même, commencer par ces livres-là ; ils m’auraient épargné bien du dégoût et de la peine.