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446. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « LXVII » pp. 264-265

C'était bien la peine à M. de Molènes de s’ériger en juge si sévère et si tranchant des hautes qualités de Mérimée pour venir donner soi-même dans des affectations d’immoralité, comparer tout d’abord les femmes à des chevaux du bois de Boulogne, et finir par citer des vers de la Pucelle.

447. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — L — article » pp. 92-93

Ses Cantiques spirituels lui feront plus d’honneur dans les Esprits sages, que ses Ouvrages de galanterie ne lui ont attiré d’applaudissemens de la part des Esprits frivoles, dont les suffrages ne valent pas la peine qu’on leur sacrifie les devoirs.

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