J’ai dit au bois toute ma peine, Et le bois en a soupiré ; J’ai dit mon mal à la fontaine, Et la fontaine en a pleuré.
Aussi ne lit-on plus ses Ouvrages ; ce qu’il peut y avoir de bon a passé dans les Ecrits de quantité de nos Littérateurs, qui, pour s’épargner la peine de penser, ne font pas difficulté de s’approprier les pensées d’autrui, en les habillant à leur maniere.