III Ce n’est point un autre Quinet que je vais essayer de peindre ; c’est le même, mais jeté dans l’action, et forcé par elle à décider et à conclure. […] L’un traduit en beaux vers des tableaux peints ; l’autre, ou le même, des pages de musique ; l’autre de vieilles légendes déjà rédigées par quelque naïf chroniqueur ancien ; l’autre des livres de zoologie.
Un hideux et sale appareil disparaît : cette machine peinte en rouge, pour que le sang n’y fasse point de taches, le panier de son, le fourgon, et ce champ des navets, sinistre cimetière des hommes sans tête !