Stœving aurait mieux fait, peut-être, de ne point peindre, et la revue allemande de ne point publier, — cette image nous montre tel qu’il est maintenant, en attendant que la mort consente enfin à le délivrer, un des hommes à coup sûr les plus intelligents de notre siècle, le théoricien et le poète du super-homme, le grand philosophe Frédéric Nietzsche. […] Couperus s’est plu à incarner dans une âme de souverain le magnifique et stérile effort qu’il a entrepris de nous peindre.
Bulwer est dans son genre un petit chef-d’œuvre de vanité, de seigneurie et de pathos : « Peindre le passé ; mais dans le passé tracer des bornes qui puissent vaguement prédire l’actualité