Le Brésil entier est pauvre en mammifères terrestres, et les espèces sont toutes de petite taille ; elles ne se détachent point sur le fond du paysage.
Pas un pauvre qui n’eût son pécule de réserve déposé dans sa besace de toile chez nous ; pas un infirme qui n’y eût son hospice, son médecin, ses remèdes.