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1178. (1909) Nos femmes de lettres pp. -238

Dans l’ordre intellectuel il en va de même : on ne peut effacer de son souvenir l’image du pauvre M.  […] comment assister alors cette détresse, Qui fait trembler vos cœurs et vos pauvres genoux ? […] Il jouissait de mon pauvre visage convulsé, quand je le voyais ébaucher quelque aventure, poursuivre quelque caprice, ou s’acharner à une tentative amoureuse qui ne lui eût peut-être pas paru si délectable, si je n’en avais été le témoin averti, impuissant et déchiré. […] Car ce serait une pauvre analyse, bien vaine et indigne de fixer l’attention, celle qui se restreindrait à son rôle de dissociation, sans souci de préparer l’effort qui permet d’embrasser les ensembles. […] Qui sait ce qu’il fût advenu d’elle, si le pauvre curé Bournisien avait sympathisé avec ses angoisses, et ne lui avait somme toute fait la réponse : Puisque vous êtes malade, pourquoi n’allez-vous pas trouver votre mari ?

1179. (1903) Légendes du Moyen Âge pp. -291

Le pauvre chevalier se désolait ; un cardinal prit pitié de lui et lui promit de fléchir le pape. […] Ce « mauvais petit château » (c’est le sens propre de Castelluccio), jadis forteresse papale, est aujourd’hui un pauvre village. […] C’est un mythe qui se retrouve ailleurs avec d’innombrables variantes, une des formes que la pauvre humanité a données à son éternel rêve de bonheur. […] « Je n’ai qu’une pauvre rançon. » 257. […] « Pauvre et indigent. » 293.

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