Selon eux, elle sappe tôt ou tard les fondemens des états : elle est la mère de tous les vices ; elle enfante l’ignorance, l’orgueil, l’ambition, la paresse, la débauche, la vengeance, le parjure, l’inceste & l’adultère, l’ivresse de toutes les passions & le mépris de la religion. […] Autrefois c’étoit la passion des femmes de se faire peindre en Junon, en Diane, en Hébé, en Vénus.
Liberté de conscience et liberté de pensée, avec leurs conséquences, sont des principes que la société moderne n’examine plus, mais auxquels elle adhère avec une passion incroyable, avec la même passion que les croyants apportent à soutenir leurs symboles.