Quand on aura pris son parti de deux ou trois mots dont la sonorité chinoise semble bien un peu barbare à nos oreilles accoutumées à de moins rudes syllabes, on goûtera délicieusement la délicatesse et la tendresse de l’humble fabliau où l’on ne sait Si c’est la fleur qui chante ou l’oiseau qui fleurit.
Ne vaudroit-il pas mieux s’attacher aux vrais modeles, ne point pervertir les genres, profiter de la critique, que de crier à l’injustice, pour soutenir des Productions dont le succès dangereux n’est appuyé que sur les suffrages de l’ignorance, de la séduction ou de l’esprit de parti ?