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975. (1890) La bataille littéraire. Deuxième série (1879-1882) (3e éd.) pp. 1-303

Une voix monta, grave, cadencée, scandant les paroles : sans doute quelque ami du défunt prononçait un discours, lui adressant ses adieux. […] Tout cela avait lieu sans bruit et sans paroles inutiles. […] Je n’ai pas à raconter ici les paroles échangées entre nous sur le rôle qu’il jouait à cette époque. […] Les paroles de sa tante sonnaient lugubrement à ses oreilles. […] En entendant ces paroles, j’eus le cœur si serré que l’orgueil, un orgueil diabolique, m’empêcha seul de pleurer.

976. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — H — Herold, André-Ferdinand (1865-1940) »

Dans Floriane, c’était Persignant qui apportait la bonne parole et courbait l’orgueil de la reine.

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