Une voix monta, grave, cadencée, scandant les paroles : sans doute quelque ami du défunt prononçait un discours, lui adressant ses adieux. […] Tout cela avait lieu sans bruit et sans paroles inutiles. […] Je n’ai pas à raconter ici les paroles échangées entre nous sur le rôle qu’il jouait à cette époque. […] Les paroles de sa tante sonnaient lugubrement à ses oreilles. […] En entendant ces paroles, j’eus le cœur si serré que l’orgueil, un orgueil diabolique, m’empêcha seul de pleurer.
Dans Floriane, c’était Persignant qui apportait la bonne parole et courbait l’orgueil de la reine.