Cousin, s’emparant du sujet de Mme de Sablé comme c’était son droit, mais ayant soin d’oublier que j’avais été l’un des premiers à puiser dans le fonds des portefeuilles de Valant, affectant d’ignorer que j’avais à y revenir et à parler nécessairement et en détail de Mme de Sablé dans mon ouvrage de Port-Royal qui importunait, je ne sais pourquoi, ce grand esprit, M. […] Cousin fait une allusion vague à son prédécesseur quand il parle de ce billet d’envoi de Mme de Sablé « dont on a donné, dit-il, quelques lignes. » Cet on, c’est moi-même ; et comme s’il en avait trop dit, il a l’air tout aussitôt de se repentir de cette vague et inintelligible allusion en faisant entendre qu’il va lui-même publier le billet fidèlement, comme si ma reproduction n’avait pas été absolument fidèle et comme, si elle laissait rien à désirer.
Il s’animait quand il parlait de cette renaissance si merveilleuse et si entière de la société sous un astre et un génie réparateur. […] Je ne parle qu’au nom du bon goût, tel que je le sens, et en vue de la parfaite bienséance.