Toute cette aventure est racontée avec une simplicité parfaite qui en fait un petit drame très émouvant. […] Le Français, justement fier de son Code Napoléon, et toujours disposé à croire que tout ce qui lui appartient est parfait, jusqu’au moment où il le déclare détestable, s’est égayé aux dépens de la méticuleuse justice britannique, qui paraît redouter surtout que l’accusé ne lui révèle ce qu’il a intérêt à cacher et qui ne veut s’éclairer que dans les limites qu’elle s’est tracées à elle-même.
Ce prince, d’un goût si délicat, faisait transporter de la Grèce en Italie les plus parfaites statues des dieux, auxquelles on coupait la tête pour y substituer la sienne.