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724. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre III. — Du drame comique. Méditation d’un philosophe hégélien ou Voyage pittoresque à travers l’Esthétique de Hegel » pp. 111-177

Il faut qu’ils paraissent bien persuadés les premiers que tout ce qu’ils veulent et tout ce, qu’ils font n’est rien. […] » Aux yeux de la logique vulgaire cette inconséquence paraît absurde. […] L’un, a-t-on dit, est ce que l’autre paraît. Voltaire dit : Je pleure, et Shakespeare pleure ; mais le rôle de l’art est précisément de dire et de paraître, et non pas d’être en réalité. Si Shakespeare se contentait de pleurer, pendant que Voltaire paraît pleurer, Shakespeare serait un mauvais poète .

725. (1868) Cours familier de littérature. XXV « CXLVe entretien. Ossian fils de Fingal »

Tes sourcils sont noirs et terribles ; les yeux roulent une prunelle enflammée ; Swaran paraît-il sur la mer ? […] Un chevreuil paraît sur le front du Mora ; j’y cours, et bientôt je reviens vers toi. […] Fingal, qui se défiait du sombre ennemi, y parut couvert de ses armes. […] « Mais au-dessus de nos têtes, au sommet de la colline parut la troupe du superbe Cormac. […] Fergus paraît.

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