Vivre sans penser, sans chercher, lui parut un supplice. […] La perspective de vivre sans travailler lui parut un cauchemar plus affreux que la mort.
Malgré mon peu de goût pour tout ce qui peut paraître une affectation, j’ai cru devoir transcrire leurs noms tels que la langue grecque les présente. […] Pour ne point dérouter le lecteur et éviter toute difficulté, j’ai pris soin d’ailleurs, à chaque première fois qu’un dieu paraît dans ce livre, d’accoler son nom latin à son vrai nom grec.