Comme le rappelle par exemple André Billy (« Apollinaire vivant », Les Écrits nouveaux, 3e année, n° 11, novembre 1920, p. 8), Apollinaire aimait à laisser croire que son père était un prélat.
Nisard n’est pas seulement un chrétien trempé dans la vigoureuse lecture des Pères, mais, de talent et de réflexion, c’est un moraliste bien plus qu’il n’est un critique, même quand il l’est le plus.