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990. (1887) Revue wagnérienne. Tome II « Paris, le 8 mai 1886. »

Puis il osa peindre de jolis poèmes sans nul sujet décrit, des jeux de nuances, délicates et larges. […] Nos théâtres de province sont pour la plupart petits et incommodes, et même ceux des plus grandes villes comme Manchester et Liverpool n’ont jamais une troupe opératique à eux ; il s’ensuit que toute l’Angleterre dépend pour son drame musical de Londres, et puisque Cari Rosa est le seul imprésario qui ose jouer l’Opéra à Londres, toute l’Angleterre dépend de Cari Rosa. […] Il ne se dit pas Wagnérien, et cependant j’ose croire qu’en lui nous trouverons notre guide et notre sauveur.

991. (1888) Revue wagnérienne. Tome III « IV »

J’ai subi, comme tant d’autres, l’influence de ses doctrines ; mais je n’ose me dire son disciple, tant je me suis gardé d’être son imitateur. […] Carvalho n’a pas osé nous le donner. […] Wilder est le premier journaliste du monde, Wagner vient… Wagner vient… » Et voilà ce qui se dit en France, voilà ce que les Français osent écrire.

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