Ce fut seulement sous Henri IV qu’une actrice osa paraître sur les planches. […] Il faut être un bien grand comédien pour oser cela. […] Maintenant, je ne pense pas que personne ose nier l’évolution naturaliste de notre âge. […] Oserai-je l’avouer ? […] Vous osez dire que Dieu vous ennuie !
Ce que vous avez bien voulu dire de moi à tous, venant de vous et découlant de votre plume avec cette grandeur et cette magnificence, est ce que je n’aurais osé ambitionner et ce qui me fait désormais une gloire, — mot bien grand et que je ne me serais jamais avisé de prononcer auparavant. — Vous avez dit de ma mère, entrevue par vous, des choses qui montrent que tout poète a l’âme d’un fils et des divinations de premier coup d’œil. — Vous avez choisi dans mes écrits avec une intelligence amie ce qui pouvait le plus faire aimer le poète. — Vous avez glissé sur les défauts et voilé avec délicatesse les parties regrettables chez celui qui s’est trop abandonné en écrivant aux sentiments éphémères et au courant des circonstances.