Après cela faites-moi dire, si vous l’osez, que nos bons poètes ne méritent pas d’être lus. […] Quant aux tragédies en prose, cette discussion nous mènerait trop loin ; et si j’y entrais avec vous, j’ose croire que vous ne seriez pas mécontente de moi : mais quant à la sévérité des lois poétiques, je n’en voudrais rien relâcher ; et quant à la rime, malgré la monotonie qu’elle cause dans nos vers, je la crois indispensablement nécessaire à notre poésie, qui sans cela ne me paraîtrait plus distinguée de la prose.
Moi, qui n’ai l’honneur ni d’être un religieux, ni d’être un théologien, j’ose avoir une autre opinion. […] Et pourtant, au moment où il ose écrire cela, et de la même plume, voilà que M.