Gustave Planche, ce critique qui fut une momie, avant d’être mort, osa lui imputer jusqu’à du génie. […] B., cette photographie qui n’a osé que les initiales d’Henry Beyle, publiée lâchement sans nom d’auteur et d’éditeur, qu’est-ce que ce nom de sainte peut bien, sous cette plume infâme, signifier ? […] Il avait bien le sentiment de la première, et il courait après, mais celle-là ne s’attrape pas à la course, et Mérimée ne l’avait pas, puisqu’il la cherchait… Il la chercha même, les dernières années de sa vie, dans une affreuse Nouvelle, où le matérialiste qu’il était aborda la bestialité et le mélange des espèces, avec l’indifférence du cynisme le plus osé.
Que n’a-t-il su, que n’a-t-il osé combattre le polythéisme, non par Épicure, ‘mais par Anaxagore et Platon ? […] Qui oserait se comparer il tel dieu ? […] Qui oserait se comparer il tel dieu ?