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1839. (1863) Causeries parisiennes. Première série pp. -419

Il saisit l’occasion d’un instant de silence, et par un effort désespéré, au risque de passer pour un original, il transporte d’un seul bond tout l’auditoire si loin, si loin de l’ornière, qu’il lui est impossible d’y retomber. […] Je faisais cette remarque, — que je ne donne point comme originale, mais plutôt comme une vérité évidente, — à un de ces croyants académiques dont je parlais tout à l’heure ; seulement j’ajoutais que le malheur pourrait être détourné si le nombre des immortels était augmenté par quelque moyen autre que l’élection ; en un mot, si l’État, comme on l’a dit, par une conversion, en sens inverse de celle de la rente, changeait les quarante en soixante. « On ne l’oserait !  […] L’architecte fait valoir pour sa défense que son plan original n’a pas été suivi et qu’une grande salle de cinq cents pieds de long sur deux cent cinquante de large, et haute de deux cent dix pieds, a été supprimée à cause de la dépense qu’elle eût entraînée.

1840. (1900) La vie et les livres. Cinquième série pp. 1-352

Théophile Gautier. Pages choisies publiées par Paul Sirven. Samedi, 29 août 1896. M. Émile Bergerat, dans une oraison funèbre consacrée à la mémoire de Théophile Gautier, son beau-père, a écrit cette phrase mélancolique et grondeuse : « Certaines œuvres ne sont pas pour le public, et celle de Gautier est du nombre.

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