Mais, aux premiers pas, quelques éclairs illuminent brusques les ombres antérieures, et bien des cris d’espoir ou d’effroi nous avertiront que le point d’arrêt de l’artiste n’est pas à l’homme un but final et que, pour lointain, l’horizon aperçu n’est encore qu’une limite illusoire. Le livre se divise en trois parties que j’appellerais volontiers — les destinées sont des comètes — la sortie de l’ombre interstellaire, le passage dans la lumière, la rentrée dans l’ombre.
André Fontainas : Les Estuaires d’ombre. […] Fernand Séverin : Un Chant dans l’ombre. […] Jean Lorrain : L’Ombre ardente. […] Édouard Ducoté : Le Chemin des ombres heureuses.